Il n'y a pas de fatalité : unis, nous gagnerons !
La chaleur de l’été s’installe, mâtinant de torpeur cet après-confinement et laissant échapper nos rêves de plages ou de terrasses ombragées. Pourtant, il faut bien s’y remettre - ou continuer pour certains.
Les rayons de soleil qui chatouillent les imaginaires n’ont aucun effet sur ceux qui se donnent le droit de décider de notre avenir.
Ils entendent bien profiter du Covid-19 : le gouvernement pour découdre à nouveau les contours du droit du travail, les grands groupes pour mieux servir les intérêts de leurs actionnaires.
Si l’on en doutait, Sanofi nous le confirme, annonçant dans la même communication la progression de son chiffre d’affaires, des dividendes versées et la suppression d’au moins 1 000 emplois en France.
Qu’ils se méfient, l’accumulation de temps chaud et sec est propice à l’embrasement…
Il suffit quelques fois d’une simple étincelle pour que l’incendie éclate et dévore le sentiment de fatalité.
Le nombre de rencontres, d’échanges et de débats autour des propositions de la CGT avec les salariés que les militants provoqueront tout l’été pourra être cette étincelle.
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